» – En marge des écrits, quand ça ne va pas, quand rien ne va plus, sur les anciens brouillons, dactyles, dans les marges, dans des carnets, je dessine vite, je jette des figures, des jets rythmés, des graffiti, des silhouettes, des postures, des mouvements de costumes, des actions, des positions.Comme pour évacuer un trop-plein rythmique.C’est quelque chose qui sort encore du bras quand l’écriture ne fatigue pas assez. »
Valère Novarina/le Théâtre des paroles.
Conception Ruhe – Le Cirque.
De belles images dans ces lignes.
Sylvie G
http://poesievisuelle.wordpress.com
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Merci Sylvie pour ce retour, nous entamons un autre travail ces prochains jours,
au plaisir de vous lire.
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J’aime ce texte, mais aussi les montages photos, et ces rails qui éventrent le paysage urbain (ou en constituent les entrailles même ?). Le rendu noir et blanc (ou sépia ? j’hésite) rajoute un caractère très onirique que je trouve fort intéressant.
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Merci pour votre sensibilité à notre univers, nous tentons de traduire notre perception émotionnelle d’un espace, d’un territoire, le Sépia, en ce sens, contribue par son ambiance à transcrire « la marche du temps ».
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