➤Toute étude commence avec un lieu et un point de départ. Ici, l’angle de la végétalisation des espaces publics, à partir des rues de la commune de Vayres Les Roses, sera notre prologue.
La flore, la rose, les rues et les chemins….Comment favoriser, se distinguer, valoriser en respectant les cycles ?
▵Avec cet article, nous tenterons d’apporter des solutions, propositions et suggestions concrètes à une meilleure valorisation, optimisation des rues d’un bourg.
Les rues depuis leur rôles
Les voies d’une commune sont ses muscles qui mènent aux organes vitaux, ses centralités.
A Vayres, l’axe majeur, telle une découpe, se nomme « rue des belles roses » (D675). Toutefois cette rue traversante fixe le bourg en deux parties.
Elle peut le figer, le défigurer et finir par le meurtrir en raison de son trafic et de son rôle, en effet, tel un fleuve, elle fend la commune.
▾Il devient impératif de sauvegarder le charme pittoresque de Vayres en se concentrant sur la circulation des piétons, donc de leur aménager des voies qui ont pour mission d’être des échappées belles.
Ces artères connexes sont toutes connectées, leur fonction est de réinjecter de la vie.

La rue principale, telle qu’elle se nommait autrefois. Ici, avec une vue tout près de la boucherie Viaud (tout à côté de la nouvelle mairie), nous pouvons découvrir les rails du tramway surnommé, localement, le Trami.

▵Les centralités, éléments indispensables à revitaliser, sont épargnées:
1-« la rue Aurore Sand » (petite fille de George Sand) redessine le centre bourg
A Aurore
« La nature est tout ce qu’on voit,
Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime.
Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit,
Tout ce que l’on sent en soi-même.
Elle est belle pour qui la voit,
Elle est bonne à celui qui l’aime,
Elle est juste quand on y croit
Et qu’on la respecte en soi-même.
Regarde le ciel, il te voit,
Embrasse la terre, elle t’aime.
La vérité c’est ce qu’on croit
En la nature c’est toi-même. »
George Sand

Avec sa petite vague, elle nous amène vers la D34 à savoir l’École Pierre de Ronsard à gauche et le Champ de foire en face. Elle représente une centralité au sens où elle accueille des commerces et un cabinet médical.
NB/ L’ultra présence de la minéralité est très loin de ce champ de foire, autrefois, fortement, boisé.

2- Le champ de foire

Le champ de foire est un grand parking, le marché est couvert, on l’aperçois au fond à droite.
La rue Rose de Vents nous conduit à l’Église.
3- Place de l’Église

Une petite place qui accueille, elle aussi, un parking. Le puits, au centre, a disparu.

En parallèle, la « rue des Poètes » qui devient, ensuite, la D34, offre de belles perspectives, grâce notamment à la belle architecture des maison en pierre de météorite.
Il existe de nombreux rosiers qui honorent des poètes et écrivains tels que le Pierre de Ronsard, le rosier Hamlet (rosier issu des hybrides modernes English Legend créés par Robert Harkness), le rosier Ingrid Lindgren (rosiériste danois Poulsen), le rosier anglais Sherlock Holmes (idem Hamlet), ou encore Émily Bronté (David Austin), le rosier Alphonse Daudet, Chartreuse de Parme…
4- Rue des Poètes, derrière l’Église

Une centralité dont l’usage se voit réduit à un parking. La vue ci-dessous se trouve juste en face.

De manière transversale, la « rue Rêve d’or »(nom d’un rosier grimpant à grandes fleurs de 1869, Duché) nous dépose à portée de la « rue Eau de rose » qui nous guide au lavoir à droite ou en pleine nature à gauche!

5- Le lavoir et enfin, une 6ème centralité, légèrement externe, se niche au début du sentier, là où la chasse est interdite. L’idéal serait de replanter des haies vives, d’installer des bancs pour pallier à la fatigue et pouvoir se poser.
⊙De petits circuits végétalisés, au sein de ce véritable escargot, dans un rayon de 2kms maximum en moyenne, peuvent être matérialisés.
La rue des poètes et sa dénomination D34 nous place à la sortie de Vayres mais la route n’est pas terminée…
A droite, sur l’image, se trouvent deux petits étangs bordés d’arbres.

En poursuivant cette belle ligne, nous arrivons à gauche, au panneau « la Côte » (Ferme des Simples) un charmant voyage pédestre nous attend…

- Récréer une centralité avec un point d’orgue, les rues fonctionnent comme de petits itinéraires
- Redonner du sens à des axes
- Réenchanter la marche à pieds
- Favoriser la mobilité douce sur de courts trajets (sécurisés)
▵Des voies, accès approchés comme des éléments constituants de circuit touristique, chemins de balade, petits trajets tranquilles, venelles bucoliques…La commune, un trésor caché à échelle humaine.
La flore comme point de départ
▲Dès le panneau d’entrée, voire même dès cette petite route qui nous invite à passer devant l’aérodrome, celle de l’éco point, nous devrions pénétrer dans un royaume floral, préservé et vertueux. Point de mire, l’école Pierre de Ronsard à droite, tous les bacs présents à l’unisson, le champ de foire, à profusion…
Sur à peine 700 mètres, nous envisageons de replanter des haies vives, d’offrir de quoi protéger. C’est l’éthique d’une commune dont il est question.
Cette séquence d’ouverture doit être soignée, avec le plus de précisions possibles. Chaque ruelle est une bouffée d’oxygène, les sentiers sont enthousiasmants, le message est cohérent: ici, il fait bon vivre.

◔La flore se révèle une figure centrale. Point de convergence, de rassemblement, elle permet de s’interroger sur notre rapport au vivant, au gaspillage, à notre appropriation de l’espace public et nous offre la possibilité de nous rencontrer, de lutter contre l’isolement en nous conviant à sortir de « chez nous » pour la découvrir.
▵La flore, source de vie, est sensorielle et riche en émotions: nous ne restons pas indifférents à ses parfums, sommes émus par sa beauté. De plus, les fleurs portent toutes un nom, ou presque, celui de son créateur, l’année où elle a vu le jour…Une porte ouverte vers la notion de patrimoine/matrimoine.
- La flore, porte d’entrée vers l‘histoire, la transmission
- La flore comme moyen de créer du lien social
- La flore comme levier de revitalisation des communes
➳La flore et la commune
Facteur de changement, elle apporte de la vie, des couleurs, au fil des saisons, la flore est un investissement pérenne.
▔Elle permet, également, de créer, à termes, les conditions d’une labellisation « village fleuri », par exemple, de parfaire la volonté de Vayres à porter les couleurs de son nom: Vayres Les Roses…
◌Si cité de la rose il y a, la commune doit se vêtir de tout ce qui a trait à cette fleur: depuis la diversité des espèces, en passant par les roses anciennes jusqu’aux roses anglaises (Vayres accueille une forte communauté d’anglais), puis fêter la rose, créer un marché de cette fleur, se spécialiser, apporter de l’expertise en lui accordant une place maîtresse.
Vayres Les Roses se doit d’être indissociable de la flore

Planter une roseraie, à visiter, enfin, se distinguer avec toutes les variétés et les palettes de couleurs offertes par ces fleurs!
Les roses de Noël (Hellébore) pourraient figurer au tableau d’ensemble (plantes vivaces très rustiques originaires d’Europe centrale et poussent naturellement dans les sous-bois, les broussailles et les prairies de montagnes. De plus, une fois installées, elles sont peu exigeantes et ne réclament pas de soins particuliers, poussant et fleurissant à la même place de très nombreuses années!).
❑La rose se marie volontiers avec d’autres espèces en massifs, elle apprécie la compagnie de belles vivaces!
- Quelques idées de vivaces à associer au rosier rose : à fleurs blanches : achillées, anthémis, asters, gaura, gypsophile, marguerites d’été, œillets….À fleurs roses : anémone du Japon, asters, pivoines, valériane…À fleurs bleues : Delphiniums, iris, népétas ou Pérovskia (sauge russe), à fleurs violettes : ail d’ornement, asters, campanules, iris, mais aussi des vivaces arbustives plus hautes comme certaines sauges violettes ou des arbustes comme la lavande. À feuilles grises décoratives : armoises, chardon, oreille d’ours, sauges argentées et sclarées.
- Idées pour rosier jaune: à fleurs blanches : gaura, gypsophile, iris blancs, marguerites, valériane Alba ou lavatère “Frédérique”, avec des fleurs bleues, on obtient les plus belles associations avec des Delphiniums hauts, des géraniums vivaces comme Johnson’s blue, mais aussi des iris, des scabieuses ou encore des véroniques. Avec des vivaces violettes : buglosse, Delphiniums et iris (encore) et bien sûr, les sauges. N’oubliez pas les feuillages : celui pourpre des heuchères (Palace purple par exemple), les feuilles vaporeuses du fenouil pourpre ou encore les feuillages panachés de nombreux iris, graminées (Carex, Hakonecloa, Miscanthus) et des Hostas.
- Rosier à fleurs blanches: des vivaces à fleurs jaunes : alchémilles, coréopsis, euphorbes, phlomis, rudbéckias ou santoline. Des vivaces à fleurs roses comme des œillets, pivoines, radiaires…Des fleurs rouges : lobélias, monardes, pavots, penstémons…À fleurs bleues ou violettes : campanules, géraniums vivaces, iris, népétas, perovskia, digitales, lavandes, Liatris ou sauges. Des feuillages, surtout ceux des graminées : avoine bleue, fétuque bleue, Molinia ou Pennisetum mais aussi ceux de vivaces grises comme la molène ou l’oreille d’ours.
- Quelques vivaces à associer aux rosiers buissons rouges : à fleurs roses: des géraniums sanguins, iris, hémérocalles, lavatères, œillets, pavots…À fleurs oranges : alstroemères, benoîtes, hémérocalles, héléniums, gaillardes, lis…À fleurs violettes : buglosse, géranium vivace, iris, lavande, verveine de Buenos aires (avec un rosier grimpant). À fleurs bleues : chardon, Delphinium.Pour leurs feuillages : les Hostas, les graminées (Pennisetum, Mélique, Molinie, Stipa tenuifolia) ou des sedums spectabile (à feuilles vert clair) et Matrona (à feuilles pourpres).
La fleur comme investissement longue durée
La rose comme bouquet final
Tous les chemins mènent à la rose… Penser la commune autour de ramifications florales qui permettraient à la rose d’offrir l’ampleur de son spectacle.
- Souvent, mal taillé, le rosier s’épuise avec des bois morts non coupés, ses fleurs ne demandent qu’à être coupées lorsqu’elles sont défleuries afin de ne pas fatiguer le rosier et que d’autres fleurs puissent prendre la relève. De ce fait, un rosier requiert un entretien quasi hebdomadaire lorsque nous sommes en forte période de floraison.

▔Oui, miser sur tous les assortiments floraux qui participent à mettre en valeur ces espèces.
▚Redonner de la vie à l’architecture de la commune, des couleurs chatoyantes, des formes (buisson, grimpant, sur tige…) au paysage pour fuir la monotonie, créer de la surprise, construire un tableau mouvant dans le but de sortir de l’image fixe, stérile.
⊙Développer une offre touristique en lien direct avec cette fleur
Cet investissement se fonde, aussi, sur l’histoire des habitants: leurs roses, leurs dons, leurs savoir-faire.
▮Tirer parti de tous les avantages de la rose:
La floraison des rosiers remontants permet une mise en place calendaire d’évènements sur presque 10 mois !(mars à novembre).
Les rosiers sont, pour la plupart, bouturables: les boutures se font d’août jusqu’à l’automne.
- Il s’agit d’un bouturage simple, qui correspond à la technique la plus courante. Repérez une tige de rosier de l’année, en bonne santé, bien droite, comptant plusieurs yeux et bourgeons naissants.
- Coupez la tête, trop tendre, au dessus de deux feuilles alternes, et coupez environ 15 cm en dessous. Supprimez les autres feuilles afin de limiter la perte d’eau par transpiration, ainsi que les épines de la partie de la tige qui sera enterrée (environ 5 cm du bas de la tige).
- Plantez la tige en l’enfonçant de 5 cm environ, dans un petit pot contenant un substrat fait d’un mélange 50/50 de sable et de tourbe blonde. Certains trempent la base de la bouture dans une poudre ou un gel d’hormones de bouturage, avant de la mettre en terre : cela favorise la production de racines mais ce n’est pas obligatoire.
Les rosiers ont une très longue durée de vie voire très très longue.
Une fois qu’ils ont trouvé leur place, ils ne demandent qu’à être admirés.
Créer des rubans de végétalisation
░Un ruban végétalisé en faveur de la biodiversité, c’est-à-dire, de manière durable, pensé avec le souci de la pérennité et la création de conditions favorables d’accueil de la faune.
D’abord, Vayres est une entité qui possède des ressources. Des espaces, recoins, angles, terrains, lieux historiques…. Quel degré de connaissance les habitants ont de leur commune? Quelle perception pour le voyageur curieux ?
Afin d’être cohérente avec son histoire, une commune se doit d’apporter les informations inhérentes à cette dernière. Quel accès avons-nous à l’histoire de Vayres ?
QUESTIONS
En nombre, mais recentrées sur cette division « coeur de bourg »:
- Pourquoi tant de puits ?
- Quelle place, aujourd’hui, pour le lavoir ?
- De combien de parcelles de terrain non artificialisé la commune dispose-t-elle ?
Une des premières nécessité tient en une importance fondamentale accordée à la pédagogie. Tout habitant ne naît pas citoyen. Tout le monde n’expérimente pas son territoire d’habitation de la même manière.
Créer les conditions de l’investissement, de l’engagement
PROPOSER & FAIRE APPEL
Sensibiliser à des modifications sociétales importantes car ces dernières sont surtout structurelles requiert une certaine pédagogie, une très bonne communication:
- L’habitant a son mot à dire, son geste à produire, il n’est plus usager mais bien partie prenante d’un projet de vie, celui de la commune au sein de laquelle il réside. Le lieu où il vit devenant l’extension de lui-même.
Inviter, convier, à des discussions pour construire, ensemble, un projet de vie commune.
Offrir: A Vayres Les Roses, les boutures réalisées lors des tailles de rosiers, d’arbustes, pourraient-être offertes aux habitants.
PARTAGER
Dans une logique de recyclage, de fleurissement, les personnes propriétaires de terrains fleuris, végétalisés pourraient, à leur tour, proposer ce qu’ils ont « en trop », dans le cadre d’un micro marché aux fleurs (graines, oignons, boutures) sous forme de troc et de vente.
Les fleurs « délaissées » des deux cimetières – je vous conseille la lecture de fleur versus déchet végétal
L’occasion de faire de la pédagogie autour de la flore, à même de produire de la revitalisation, des conseils, échanges de bonnes pratiques, ateliers et autres cours de tailles, plantation…
ACCUEILLIR
La symbolique d’un bourg repose sur les patrimoines matériels et immatériels qui le caractérisent. A Vayres Les Roses nous pouvons constater que le passé est davantage illisible, qu’il s’adresse à celles et ceux qui connaissent bien cette commune. Ils pourront identifier tel ou tel lieu sans difficulté ou presque.
Un problème entier se pose: la question de la transmission et qu’en est-il du caractère inclusif pour les nouveaux arrivants ?
Une commune doit veiller à attirer et à garder, la typologie du renouvellement de la population peut être réfléchi en ce sens:
Quelle réponse à la vacance immobilière, au manque de services, de commerces, quelles attentes ? Mais aussi quelle offre de logement durable, quel prix de l’immobilier ? Transformer et non subir.
Répondre à des appels à projet, à participation au regard des terrains disponibles et de leurs usages en se tournant vers des acteurs du changement, de l’innovation environnementale.
Solliciter les moyens de communication digitaux pour impulser une demande de médecin, par exemple, animer depuis la salle polyvalente (voir ses usages, programmation, location et ses tarifs).
- Vayres pourrait tirer un grand bénéfice en devenant un champ des possibles, ouvert, disponible et à l’écoute, sur le terrain, en direction des habitants (créer les conditions de l’échange hors lieu officiel -mairie) et des entreprises en valorisant la vacance immobilière, les tarifs attractifs de l’immobilier, son débit internet, idéal pour le télétravail, accueillir une entreprise de service, de livraison par exemple…
Une commune pourrait recenser tous les artisans locaux (tous corps de métiers confondus nécessaires à la réalisation de travaux de réfection) et remettre cette liste de « confiance » aux nouveaux habitants.
VALORISER & FACILITER
Nous attendons de nos trajets quotidiens, réguliers, à pieds, à vélo, qu’ils se déroulent dans la sécurité et qu’ils soient agréables à vivre, à faire.
Les aménagements de bords de route, de rues, les routes et rues, elles-mêmes, font partie intégrante de trajets. Rien d’exceptionnel au fait d’aller chercher son pain, acheter quelques victuailles à l’épicerie, se rendre sur le marché, il ‘en va pas de même pour d’autres parcours qui se transforment en mission de par leur éloignement:
-C’est le cas des poubelles de tri (jaunes) et du nouveau cimetière de Vayres.
Afin de ne pas dépendre de quiconque, d’un véhicule et d’être autonome, ces deux « circuits » pourraient gagner, grâce à une meilleure signalétique, un accès le long de la route plus protégé pour les piétons.
Deux remarques s’ajoutent pour l’éco point, il est bien trop en retrait ce qui, d’une part facilite le dépôt sauvage, et d’autre part, ne sécurise pas. En effet, la proximité immédiate de la forêt peut engendrer une sensation d’inconfort, notamment chez les femmes seules ou chez les plus jeunes.
De plus, son manque de propreté et son éloignement engendre le fait que le tri ne soit pas un geste « agréable », il n’est pas correctement valorisé. La hauteur des battants est trop haute, les bacs sont trop rapprochés les uns des autres.
PERMETTRE
En ce qui concerne le nouveau cimetière, son accès est très reculé même si son trajet est plaisant, le long de la forêt, il peut, néanmoins, être redouté, il ne peux se réaliser avec facilité, de manière spontanée.
Afin de ne pas donner l’impression d’être exclu de la vie de la cité, il pourrait porter un nom, être doté d’une meilleure signalétique et ses abords pourraient être soignés: fleuris!
L’idée étant de perdre en austérité et de gagner en apaisement, que le fait d’aller fleurir une tombe, se recueillir, se réalise, dans les meilleures conditions possibles.
Je vous recommande la lecture de fleur versus déchet végétal , il est question de végétalisation de cimetière et de propositions de restructuration pour l’ancien cimetière de Vayres en le transformant en cimetière paysager (Article qui s’accompagnera d’approfondissement ultérieurement).
Six trajets à végétaliser sont à l’étude:
- Entrée de la commune (par le haut) ➝lavoir
- Entrée de la commune par le haut ➝ ancien cimetière
- Par le bas (Rochechouart) ➝ ancien cimetière
- par l’école (rue Pierre de Ronsard) ➝ancien cimetière
- Centre bourg ➝Champ de foire
- Champ de foire ➝nouveau cimetière (chapelle Jeanne d’Arc).
Isabelle Pompe L, Vayres à soi, 16 décembre 2021.
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