


Qu’est-ce qui nous survole et pourrait nous définir, qu’est-ce que nous disons de nous -même alors même que nous parlons beaucoup ou trop peu, qu’est-ce qui nous encercle, nous préfigure, comble nos espaces de représentation par du vide? L’ombre, celle de nos mensonges, de nos secrets, celle qui apporte à notre adresse nos factures et non des lettres d’amour, celle qui nous astreint à notre nom, nous assèche à notre espace, nous rompt au delà de notre clôture sociétale. Peut-être, ou est-elle seulement -en faisant toujours attention à l’usage des adverbes- notre part visible, notre contribution corporelle à la scène.
Réalisation photographique déposée par le collectif Ruhe- Le Cirque.
De belles ombres !
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Faux-semblants! ❤
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